Contexte

La jeunesse, une bombe à retardement ou un acteur de changement positif ?


L’Afrique enregistre de nos jours la population la plus jeune au monde


Dans sa croissance démographique rapide: le nombre d’habitants âgés de 15 à 24 ans dépasse actuellement 200 millions, et aura doublé en 2045.

Le défi est là, et il est urgent d’y répondre. Cette jeunesse africaine constitue à la fois une opportunité et une menace (bombe à retardement) pour l’avenir de l’Afrique et de l’humanité.

Deux questions sont au rendez-vous :

  • La jeunesse, avenir du continent africain : un avenir sombre ou un avenir ensoleillé ?

  • La jeunesse, une bombe à retardement ou un acteur de changement positif ?


(Dr Najat Maalla M’jid, la jeunesse, avenir du continent africain, Menton, le 22 janvier 2015).

Les jeunes africains sont une opportunité
de développement pour le continent

… notamment en matière d’innovation et de transformation sociale. Et cela n’est possible que grâce à un encadrement bien établi.

La jeunesse est une menace lorsqu’elle reste sans encadrement la préparant à s’intégrer utilement dans la société, pour son développement social harmonieux.

C’est pourquoi l’attention des différents acteurs oeuvrant pour le développement de la jeunesse africaine ne doit pas uniquement se focaliser sur les jeunes ayant un certain niveau d’instruction, mais également sur ceux qui en sont privés à cause de leurs statut ou situation de vie. Parmi ces derniers, on retrouve les jeunes de la rue.

Pourquoi ne pas envisager une intégration
socioprofessionnelle des jeunes ?

Nous pensons qu’il est indispensable dans cet engagement vers l’Afrique du future, porteuse d’espoir, d’investir durablement dans l’intégration socioprofessionnelle des jeunes.
En effet, de nombreuses études ont démontré que les jeunes africains sont créatifs, vaillants, débrouillards et performants malgré la précarité de leurs conditions d’existence….
Ils manquent présomptueusement un encadrement de qualité. C’est le bien fondé de notre programme.


Valery NGOY NDALA

Président – Fondateur de l’APANAEFJ/Asbl

Je crois en la jeunesse africaine, l’Afrique de demain ne peut être que meilleure si cette jeunesse est bien encadrée et formée.
La responsabilité de l’encadrement de la jeunesse est partagée et il est temps que nous, la génération consciente, prenions en main le destin de l’Afrique, dans le travail et la solidarité pour un développement harmonieux.